Infections – The Missing Link

Infections – The Missing Link

Pourquoi attrapez-vous un virus ou une infection, mais la personne à côté de vous ne l’attrape pas? Et pourquoi semble-t-il impossible de se débarrasser d’une infection telle que le Candida? Les réponses habituelles à ces questions sont les suivantes: soit vous avez un système immunitaire faible, soit vous êtes juste malchanceux. Certes, ces facteurs sont importants, mais il y a un facteur sous-jacent qui est beaucoup plus pertinent à connaître et qui détermine si vous attraperez un microbe et si vous pourrez vous en débarrasser.

L’importance de l’environnement

Ce qui est essentiel pour tout organisme, c’est l’environnement dans lequel il vit. Cela détermine sa capacité à survivre et à pouvoir se développer, ce qui peut se traduira par une infection.

“La lutte contre les infections est plus complexe, mais commence toujours par le même principe: changer l’environnement.”

Ce concept a été compris au tout début de la microbiologie. Claude Bernard a été le créateur du terme « homéostasie », qui signifie qu’un organisme cherche et maintient l’équilibre dans son propre environnement interne. Il a également préconisé qu’un « milieu intérieur » sain, signifiant « l’environnement interne », ne permettrait pas à la maladie d’y entrer. Cela a été finalement accepté par le célèbre Louis Pasteur sur son lit de mort, avec la citation désormais célèbre “Bernard avait raison. Le terrain est tout, le microbe n’est rien.”

Pensez un instant à deux pathogènes communs: E. coli et Candida albicans. E. coli est un microbe commun à nous tous. Il peut être bénéfique ou pathogène car il a la capacité d’évoluer rapidement sous une forme différente. Cette évolution est fondamentalement contrôlée par l’environnement dans lequel il vit. Concernant le Candida albicans, la prolifération de ce pathogène devient une condition de plus en plus commune. Cette levure est naturellement présente en chacun de nous et n’est généralement pas un problème. Mais, un changement dans son environnement lui permettra de se développer sans contrôle et pourra conduire à une infection à levures.

La solution pour prévenir l’infection est simple et évidente. Créer un environnement dans notre corps qui n’est pas adapté aux microbes pathogènes, mais adapté aux microbes bénéfiques. La lutte contre les infections est plus complexe, mais commence toujours par le même principe: changer l’environnement.

Types d’environnements

Alors, quels environnements devons-nous considérer? Les microbes les plus bénéfiques préfèrent un environnement acide. Les organismes pathogènes préfèrent plutôt un environnement alcalin. Ceci peut être démontré lorsque des microbes bénéfiques tels que Lactobacillus produisent de l’acide lactique. Par contre les pathogènes tels que H. pylori et Candida albicans produisent de l’ammoniaque qui est alcalin. Ces changements de pH sont importants bien sûr, mais plusieurs autres éléments influencent aussi l’environnement.

C’est là que la nourriture fermentée intervient. Pendant la fermentation, les microbes bénéfiques décomposent la nourriture qui leur est donnée pour créer un large éventail d’acides différents, comprenant l’acide lactique, l’acide butyrique, l’acétate et le propionate. Ces acides modifient le pH, donc l’environnement, en le rendant plus acide. Cela permet aux microbes bénéfiques de prospérer. Nous avons également des avantages mutuels avec cette production d’acide. Par exemple, l’acide butyrique (un acide gras à chaîne courte) fournit 70% de l’énergie à nos propres tissus dans le côlon.

Lorsque les microbes bénéfiques sont heureux dans leur environnement acide, ils produisent divers composés, y compris des bactériocines qui peuvent tuer les bactéries pathogènes et les virus. Nous pouvons observer ce phénomène avec les aliments fermentés. Il existe de nombreuses études montrant comment les pathogènes ne peuvent pas survivre dans l’environnement des aliments fermentés. Pensez à la façon dont le chou peut fermenter pendant de nombreux mois à température ambiante, sans se gâter, pour créer de la choucroute. Ce délicieux aliment, riche en bactéries, a aussi un goût assez acide qui provient du fait que le chou est brisé par les bactéries et crée des acides bénéfiques.

Plantes fermentées

Là où cela devient beaucoup plus intéressant, au-delà des aliments, c’est lorsque les plantes qui ont des propriétés antibactériennes sont fermentées. Vous avez maintenant une multitude d’avantages : un environnement sain produit par la fermentation de la plante, une nourriture pour les microbes et les propriétés médicinales de la plante elle-même. Par exemple, il existe un composé actif appelé “thymol” dans le thym. C’est un antibactérien très efficace contre les bactéries pathogènes. Le thymol passe de 14% dans un thym non fermenté à 40% lorsque la plante est fermentée. Non seulement vous obtenez des quantités accrues d’ingrédients actifs-clés dans les aliments et les plantes fermentés, mais vous obtenez aussi des micro-organismes bénéfiques pour aider à maintenir un environnement sain dans votre système digestif.

Ce qui est encore plus intéressant c’est que le thym fermenté ne détruit pas les microbes bénéfiques. Disons que c’est la sagesse de la nature. D’un autre côté, de nombreux agents antibactériens ou antifongiques, tels que les antibiotiques, détruisent souvent à la fois les micro-organismes nocifs et bénéfiques.

Ainsi, au lieu d’être simplement « chanceux » de ne pas avoir attraper un microbe, vous avez plutôt créé un environnement sain; vous aurez ainsi moins de chance de tomber malade cet hiver. Si vous êtes malchanceux et que vous attrapez un microbe, considérez un supplément fermenté avec les meilleurs plantes et aliments antimicrobiens pour une solution sûre et très efficace.


DÉFENSE de Living Alchemy 

Une étude prouve qu’il est 500 % plus efficace que les antifongiques pharmaceutiques.

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